La résultante des forces aérodynamiques exercées sur les maquettes testées en soufflerie a été la première quantité à être mesurée. Une meilleure compréhension des phénomènes aérodynamiques a ensuite nécessité de mesurer la distribution de pression sur la surface de la maquette. Cela a été, et cela est toujours, réalisé avec des prises de pression, mais l’avènement des nouvelles méthodes de mesure donne un accès incomparablement plus détaillé à l’évolution de la pression pariétale. Toutes les quantités surfaciques sont maintenant accessibles par les méthodes optiques : pression, température, flux de chaleur, forme, et même frottement.